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Cinémascope

COBWEB/LA MAISON DU MAL


2/5. Je voudrais ne pas écrire le genre de truc qui va suivre, car ça donne seulement l’impression que je suis désabusé et non-inspiré. Malheureusement, je ne peux m’en empêcher, car ce n’est pas moi qui suis « non-original » ici, comprenez c’que j’veux dire ??!! Ce genre de productions n’existe que pour le flamboyant, l’excitation du moment, l’apparat. A moins de sortir d’une hibernation de plus de vingt ans (et je suis conservateur !), Cobweb du jeune Samuel Bodin (réalisateur) et du jeune Chris Thomas Devlin (scénariste) n’a aucune chair autour de l’os, sinon quelques plans épeurants et…………. C’est tout. J’ai déjà fait l’exercice d’énumérer dans mes critiques quelques productions du passé qui « inspiraient » certaines nouvelles œuvres (pour ne pas écrire plagier !!!!) et Cobweb tombe dans la deuxième catégorie (Mais juste pour le plaisir : Ring, Grudge, Insidious, Mama, Babadook, Sixth sense, ……). Tout sonne faux et « phony ». Le déroulement de l’histoire a tellement d’incohérences qu’il me fut impossible d’adhérer au bon vouloir des deux artistes (Sans parler de l’approfondissement psychologique des parents dans le récit, qui est bousculé et précipité à l’extrême. Pauvres Lizzy Caplan et Antony Starr……………) Je n’écrirai pas que Cobweb est le premier exemple, mais depuis un certain temps, je trouve que les films d’horreur manquent d’imagination et que le public et les critiques se satisfont de peu (Quand je pense que mes exemples susmentionnés n’ont même pas vingt d’âge, alors que le genre en a plus de cent !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! En tout cas…… !!!) P.S. : Cobweb n’est pas pour les érudits, j’finis ça de même. Par François Gauthier cinemascope@deltar.net

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