Un mélange brouillon de plusieurs productions post-apocalyptiques, dont Cloverfield lane et District 9 sont les plus aisément reconnaissables, le film de Rupert Wyatt (Rise of the planet of the apes; Gambler ; Escapist) ne parvient jamais à instaurer l’urgence de survie des rebelles, ni l’endoctrinement du peuple. Les excellents John Goodman et Vera Farmiga font vraiment tout leur possible pour nous convaincre que leurs personnages ont plus de deux pages de profondeur, mais leurs efforts, aussi louables soient-ils, ne fait qu’empirer la minceur d’une histoire pas d’histoire. Captive state ne semble exister que pour la finale coup de poing, mais faut être solide (ou incroyablement crédule) pour endurer les trois premier quarts de cette mésaventure!!!! Sans compter de piètres effets spéciaux… Ouille! On passe « go » et on ne réclame pas 200$, direct en prison!!! 2/5 MAX. par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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