Il fallut que Michael Bay lâche la réalisation pour qu’ENFIN mes Transformers retrouvent leur naïveté et simplicité d’antan. Ça et l’arrivée d’une femme à la scénarisation, Christina Hodson (Elles savent toutes ce que les hommes veulent… PPfffff!!!) Donc, j’ai osé regarder Bumblebee, un appendice à l’affreuse série cinématographique de Bay. Honnêtement, je n’ai aucune explication à offrir du pourquoi j’osai, sinon que j’espérais en silence ce que je n’osais voir en réalité. AAAAAHHHHHHH!!!!!! Soulagement. C’est E-XAC-TE-MENT ce que Bay aurait dû faire en premier lieu (soit en 2007), c’est-à-dire partir de la base. La seule qualité que je puisse trouver à la série est de nous faire apprécier le travail d’Hodson et du réalisateur Travis Knight (Kubo and the two strings). Un retour en arrière (1987); une trame musicale subséquente (les chansons sont plus qu’appropriées, vu que « Bee » ne peut communiquer qu’au travers d’elles!); un fond moralisateur rappelant l’œuvre de John Hughes (un pro des films d’ados); des effets spéciaux relevés; et des caméos infographiques juteux (voir les premières versions de Shockwave, Soundwave et mon préf, Optimus… OUH! furent plus que satisfaisants!!!) Il me fait drôle de l’écrire, mais après cinq productions et onze années de misère, j’enterre la hache de guerre et souhaite une NOUVELLE belle continuité à Bumblebee. Hodson a mis un baume sur mon cœur d’enfant et je m’en réjouis depuis. QUOI?! J’chus bébé pis j’m’assume!!!! 3.5/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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