2.5/5 (Netflix). Mouin !? J’espère que le réalisateur Andrew Dominik ne voudra pas tourner de films biographiques sur les icônes restantes de la célèbre « revisite » du peintre Edward Hopper (de Gottfried Heinwein) Boulevard of broken dreams, soit Humphrey Bogart et James Dean, car ça ne m’intéressait pas tant de voir l’intérieur du vagin de Marilyn et de passer une éternité sur les fœtus des pseudos-bébés qu’elle aurait pu avoir !!! Je comprends que Blonde est une œuvre « artisssssstique » basée sur le roman de l’auteure Joyce Carol Oates, mais à vouloir déconstruire un mythe, tu peux passer à côté de l’essentiel et Dominik a raté le coche solide !!! C’est d’ailleurs dommage, car la performance de sa vedette principale est inspirée. La jeune actrice cubaine Ana de Armas est investie, nuancée et crédible. Elle parvient à nous garder (presque) attentif pendant 147 trèèèèès longues minutes !!!! Blonde est un rendez-vous manqué avec la star (contrairement à celui entre Elvis et Baz Lurhmann !!!) Je vous conseille de regarder le film de Simon Curtis, My week with Marilyn, à la place. C’est plus concis et divertissant… Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
Comments