3/5. Histoire intéressante, malgré le thème féministe surligné à la grandeur du film. L’actrice Zoë Kravitz réalise un premier métrage avec maitrise, nous amenant dans le monde de la « misère des riches » et tournant au 90 degré pour nous berner et nous garder attentif. La deuxième partie s’essouffle un peu et devient redondante, mais grâce à sa vedette principale, on reste intéressé. Naomi Ackie parvient à jongler avec les émotions et à crédibiliser la twist de sa réalisatrice (et du coscénariste E.T. Feigenbaum). Blink twice ne renouvelle pas le genre « horreur racio-social », mais démontre beaucoup de potentiel de ses artisans. Kravitz pourrait devenir le penchant féminin de Jordan Peele… !?! Souhaitons-lui bonne chance pour la suite des choses. Blink twice est un bon départ.
Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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