2.5/5. Je ne peux écrire que j’étais impatient de voir la suite du succès surprise sud-coréen de 2016, Train to Busan (lire:critiquedeltarmedia.wixsite.com/cinemascope/post/busanhaeng-dernier-train-pour-busan-2016), mais j’admets que j’avais quelques espoirs………. Ben, à la défense du cinéaste Sang-ho Yeon, je lui lève mon chapeau d’avoir tenté une autre approche au lieu de reprendre la même recette qui a fait le bonheur des amateurs de zombies. Maintenant et malheureusement, on assiste, avec Peninsula, à l’exemple type de la suite obligée peu inspirée. Je crois que Yeon ne s’attendait pas à sa réussite et n’avait prévu prolonger le plaisir. L’histoire qu’il a pondue manque cruellement d’originalité (c’est un mélange de Land of the dead et Escape from New York, mettons !) et les personnages, contrairement à la première production, ont peu de chair autour de l’os (Haha ! Euh, ‘scusez !) De plus, le rythme n’est pas aussi soutenu que sa consœur. La seule véritable qualité qui m’a sauté aux yeux fut la photographie (de Haung-deok Lee). Beaucoup de contrastes lumineux, des séquences très « flasheuses » (surtout chez les débiles insulaires) et d’autres, plus froides (leur lune éclaire en ta…….barnouche !) Mais j’peux pas dire que c’est ce que verront en premier les fans et je les comprendrai. Une suite correcte, mais loin d’égaler Busan 1. N.B. : Ne peut être vu qu’en anglais ou coréen (si vous êtes ferrés ?!? Le mien est rouillé…………) Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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