On est vraiment dans une période morte pour que je m’attarde à un film dont le sujet est la survie dans le grand Nord, plein de neige, de froid et autres clichés du genre !!! On en sort à peine, de l’hiver, qu’il faut que je me tape l’Enfer blanc « all over again ???!!! » * ?&$% ?* ??/$% »/& ?*^(*)(& ?*o&%/ de tbrk de c**ss de st*e de c**lisse que j’t’à boutte de l’hiver!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Bon ! « Soupir », ‘fallait que ça sorte ! Mais sans farce, ya VRAIMENT pas grand-chose à se mettre sous la dent cinéphilique pour que je regarde Arctic. Le premier et seul attrait fut Mads Mikkelsen. L’acteur danois fait honneur à sa réputation et porte le film sur ses épaules. Le « frette », lui, ça n’l’énerve pas et il nous le prouve amplement dans la production de Joe Penna. Maintenant, Arctic n’a rien d’autre d’extravagant que sa vedette (et la photographie de Tömas Örn Tömasson), car ce genre de film est plutôt commun. La seule nouveauté (mettons !) est l’absence de dialogues. Malheureusement, Penna et son coscénariste Ryan Morrison ont fait le choix artistique d’appuyer l’image par une trame sonore que trop présente (de Joseph Trapanese), ce qui réduit le film à une fiction plutôt qu’un « pseudo-documentaire » plausible. Bah ! Arctic est correct ET « NO WAY » que je vais le revoir un jour. Donnez-moi des films-catastrophes avec des tempêtes de sable, des ouragans d’eau, n’importe quoi qui ne ressemble pas à de la neige. C**isse !! 3/5 par François Gauthier cinemascope@deltar.net
Comentários