3/5 (Paramount+). Hollywood, la ville des rêves recyclés. « Sooooupiiiir »….. Bof !! Depuis le temps, je devrais m’être habitué, puis peut-être que celui-là en vaut la peine ?! (Pause dramatique) Mouais, bon, en tout cas, ce n’est pas faute d’essayer. La jeune Natalie Erika James (Qui ???!!) a réussi à recréer l’atmosphère du classique de Roman Polanski. Grâce à la photo d’Arnau Valls Colomer, la musique de Peter Gregson et Adam Price et le travail de reconstitution des années ’60 (du directeur artistique Simon Boyles), j’eus un agréable moment de nostalgie momentané. Puis la distribution est franchement bonne. La jeune Julia Garner fait une admirable composition de la précédente victime des satanistes voisins (Ya pas de punch, là, franchement !! C’t’un « prequel », tsé !) et l’excellente actrice Dianne Wiest chausse avec brio les souliers de feu-Ruth Gordon en gentille et aimante vieille voisine (Gordon fut oscarisée pour ce rôle. Ce serait juteux que ce soit le cas pour Wiest pour le même rôle 60 ans plus tard ?! Ben quoi ?! On peut rêver…) Apartment 7A n’arrive certes pas à la cheville de Rosemary’s baby, mais dans les circonstances et malgré la prévisibilité de l’histoire, se regarde plutôt bien. En tout cas, l’effort, l’intérêt et la passion y sont. Il faut simplement se laisser convaincre que l’expérience en vaut la peine (Pis ya eu pire comme « prequels » et adaptations, mais je ne m’embarquerai pas là-dedans. Noooon, madame !!!! Hé, oh ! Quand même…..) Par François Gauthier cinemascope@deltar.net P.S. : Saviez-vous que le classique avait eu une suite en 1976 ?! Tourné par son éditeur Sam O’Steen ? Titrée Look what’s happened to Rosemary’s baby ? Ben moi non plus. Pourquoi ? Parce que c’est sorti directement à la télévision, que c’était mauvais et que tout le monde s’en fout………………. C’n’est pas d’hier que le recyclage existe, hein ????!!! En tout cas………………….
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