2/5. Ça, une comédie??!! The Elephant man est plus drôle que ça, sacrifice !!! Pis sommes-nous rendus autant mentalement mou en tant que société pour devoir souligner la morale au feutre (in)dé(lé)bile ?! L’histoire du cinéaste Aaron Schimberg est tellement peu subtile qu’à la longue, elle en devient agressante. Tant qu’à pousser l’analyse à « deux cennes », je trouve même qu’il exploite et pervertit la maladie (neurofibromatose) en impliquant directement un patient (Adam Pearson) dont il ne se donne même pas la peine de nommer le personnage. Remarquez, Pearson est bon dans son rôle, mais joue-t-il vraiment ?! Quant à Sebastian Stan, il est correct dans la première partie (avec maquillage), mais dès qu’il trouve « forme humaine », il semble perdu. Evidemment, la faute revient à Schimberg de ne pas avoir su garder sa ligne directrice première et d’avoir plutôt essayé de nous sermonner dans la deuxième partie. Non, franchement, je n’aime pas être pris pour une cruche vide. Je ne m’explique pas comment autant de gens aiment cette production ?! Ce film-là, je le proposerais à mon pire ennemi, c’est sûr !!! En tout cas… Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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