3/5 min. Déjà plus de vingt ans que la petite éponge sévit. N’étant pas amateur de télévision, je l’ai découverte (Bob et sa gang de bizz !!) via mes enfants. Et encore ! C’était amusant, mais elles n’ont pas tant accroché. En tout cas, préférant le Septième, c’est réellement là que l’univers de Bikini bottom m’est tombé dans l’œil. J’ai adoré l’humour à la fois bon enfant et sarcastique de son créateur Stephen Hillenburg. Un parfait dosage, sans parler des dessins ridiculement animés !! Donc, ce troisième opus cinématographique gagne en humour, mais perd en tradition. METTONS !! J’avoue être un peu puriste sur certains points, mais on parle d’un film d’animation d’une série télévisée d’à peu près vingt ans. C’n’est pas Bugs Bunny ou Mickey Mouse, là !!!! Donc, que les artisans « switchent » au 3D, so what !?! Le deuxième (en 2015, de Paul Tibbitt et Mike Mitchell) s’y ai frotté, alors…. Résultat de la troisième aventure?! J’ai ri, mais ri !! J’admets que j’étais fatigué ET qu’on n’est pas sustenté ces temps-ci !! Mais on s’y fait vite, à la 3D. Ce que j’ai le plus apprécié de Sponge on the run est que Tim Hill (il est des auteurs récurrents de la série) ait gardé l’esprit disjoncté intact de son créateur (D’ailleurs, je pense que ce #3 n’existe réellement que pour souligner la mort de son créateur en 2018. R.I.P. Stephen Hillenburg !) Le cinéaste Hill (Garfield 2 ; Alvin and the chipmunks ; War with grandpa) et sa troupe ont fait un agréable amalgame de ce que Bob l’éponge et ses amis sont et vivent depuis vingt ans. Léger, souriant et honorable ! Par François Gauthier cinemascope@deltar.net
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