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PREDATOR: KILLER OF KILLERS

  • Cinémascope
  • 17 juin
  • 1 min de lecture

3.5/5 (Disney+) Hey?! J’suis-tu sur la coche, rien qu’un peu ?!!? À la fin de ma critique de Prey (en 2022), j’écrivais craindre d’autres appendices dans la même veine, style « on-étire-la-sauce-jusqu’à-ad-nauseam ». J’aurais ben dû être producteur à Hollywood, sacrifice !! Tenez, pour les St-Thomas . Prey/Proie.

Par contre, je suis trèèèès heureux, malgré ma méfiance première, que Dan Trachtenberg (réalisateur de Prey et autre Cloverfield 2) et le scénariste Micho Robert Rutare aient décidé de poursuivre l’aventure. Les aventures, pour être exact, car Killer of killers est un film d’animation de trois courts métrages qui se regroupent en une finale épique. Être chialeux (ce que je suis généralement !), j’écrirais qu’il y a quelques détails scénaristiques discutables (surtout dans le troisième acte « american », où ils poussent le bouchon un peu loin….), mais l’ensemble vire au quart de tour. Pas de flafla inutile. Ils ont compris l’essence même du personnage principal, créé par les frères Thomas en ’87 et les prédateurs sont ce que tout fan veut voir, soit une machine à tuer et du gore, il y en a. C’est d’ailleurs une excellente idée d’avoir animé la production, cela permet plus de latitude aux artistes pour les séquences d’action. Ouaip, franchement, je suis agréablement surpris. Une chance que ce soit tranquille ces temps-ci, car j’aurais manqué mon plaisir. Killer of killers est une parfaite addition à la série. Le Prédateur a quarante ans et toutes ses dents, yahou !! Par François Gauthier cinemasacope@deltar.net

 
 
 

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